JAGUAR Type E S1 3,8L Cabriolet

, nous retraçons 3 propriétaires entre 1972 et aujourd’hui. Le dernier propriétaire a acheter le véhicule en 2014, collectionneur méticuleux, il a entretenu et soigneusement bichonné sa voiture, comme en atteste la qualité du compartiment moteur et de nombreux détails sur l’auto. La carrosserie a été restaurée il y a une vingtaine d’années en respectant cette belle combinaison rouge avec l’intérieur cuir noir. La voiture est toujours équipée de sa boîte « Moss » d’orgine. Dossier photos et vidéos sur demande. Etat Carrosserie du Véhicule 80%80% La carrosserie est en très bonne condition générale avec une belle patine. Les alignements de tous les ouvrants sont très bons, témoignant de la qualité de la voiture. L’ensemble des chromes et des pare-chocs sont en état neuf et alignés. Les pneus MICHELIN XWX sont montés sur des roues à rayons chromés avec écrous papillon en état neuf. Etat Intérieur du Véhicule 80%80% L’habitacle est aussi en très bel état de présentation, la sellerie cuir noir est patinée et d’un bel effet. Les contre portes, le tableau de bord, les moquettes sont en excellent état. Le volant bois à 3 branches d’origine est en parfait état. L’auto est également équipée de sa capote en alpage noir en parfaite condition. Toute l’instrumentation « SMITHS » fonctionne. Nous disposons aussi d’un couvre capote en alpaga noir. Etat Châssis / Mécanique 85%85% Les différents essais routiers confirment un 6 cylindres 3,8L en parfaite santé, très coupleux et performant avec ses 3 carburateurs SU. Une fois prise en main, la boîte de vitesse se montre très agréable et les vitesses passent très bien. Sur ce modèle, rares sont les soubassements dans cet état, d’origine et exempt de blackson, mettant en valeur une voiture très saine, sans point de corrosion et de trace d’accident. HISTORIQUE DE LA JAGUAR TYPE E Serie 1 3,8L Période de production : 1961 à 1964 avec 15482 exemplaires Coupe et cabriolet. Salon de GENEVE 1961, la toute nouvelle JAGUAR Type E est présentée. Cet OVNI en rupture totale avec le style grand tourisme habituel de la marque fait sensation. La presse s’affole et le public n’en revient pas. Un des ingrédients du succès réside certainement dans le prix de la Type E. Lancée moitié moins chère qu’une FERRARI avec des performances équivalentes, chacun se projette dans une auto dont il pourrait presque être propriétaire. La Type E est donc immédiatement adoptée dans le cœur des passionnés. Dans les années 60, on trouvait dommage que la marque ne sache pas assez s’inspirer des carrosseries de ses modèles de courses sur ses autos de série. Certains retrouveront enfin dans la Type E quelque chose de la fabuleuse Type D. Dans les entrailles de la bête, la Type E est totalement nouvelle et différente. Malgré le caisson tubulaire que l’on aperçoit à l’ouverture du superbe capot avant, la Type E dispose bien d’une caisse autoporteuse. Les tubes du compartiment moteur servent simplement à créer une structure pour encadrer le moteur et supporter l’énorme capot (qui s’ouvre d’un seul tenant vers l’avant) et ne constitue donc pas une aide réelle à la rigidité de la caisse. La Type E possède aussi 4 roues indépendantes équipées chacune de leur frein à disque. « INBOARD » à l’arrière, les disques de freins se retrouvent au centre de l’auto, de part et d’autre du différentiel. La place dégagée permet d’intégrer 4 amortisseurs, ce qui offre à la Type E une suspension arrière inédite, et qui lui vaudra longtemps des éloges en matière de tenue de route.