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Jaguar E2A Evocation

Année : 

1969

Km : 

24800

CV : 

265
Blanche avec bandes Le Mans

/

Noir
1969
24800

KM

265

CV

Blanche avec bandes Le Mans

|

Noir
149 000€

Caractéristiques

Année : 1969
Kilométrage : 24800km
Carte grise : Collection
Nombre de places : 2
Nombre de cylindres : 6

Pneumatique : TBE
Carburant : SP98
CV Din : 265
CV fiscaux : 26
Boîte : Mécanique à 4 rapports

Modèle

La Jaguar E2A, prototype unique de 1960, marqua l’évolution entre les Jaguar Type D, trois fois victorieuses au Mans, et les célèbres Type E. Conçue par Malcolm Sayer, elle servit de laboratoire pour tester la suspension arrière indépendante avant d’être confiée à Briggs Cunningham pour courir aux 24 Heures du Mans et en compétition SCCA aux États-Unis. Pilotée par des légendes comme Dan Gurney et Bruce McLaren, l’E2A originale reste un symbole d’innovation et de performance.

 

Cette inspiration de l’E2A a été réalisée entre 2018 et 2020 par HH Services à Strasbourg, sous la direction d’Hubert Haberbusch, maître artisan de renommée mondiale dans l’art de la restauration de carrosseries automobiles. Fort de plus de 40 ans d’expérience, M. Haberbusch est célébre pour son expertise exceptionnelle dans la rénovation de véhicules emblématiques et prestigieux, ayant travaillé sur des marques légendaires telles que Bugatti, Ferrari, Rolls-Royce et Jaguar, ainsi que sur des voitures iconiques du musée Schlumpf à Mulhouse.

 

Cette auto arbore une carrosserie en aluminium réalisée sur mesure, fidèle au design original, bien qu’étant en conduite à gauche, avec une livrée blanche et bleue au couleur de l’écurie Cunningham. Des détails tels que le capot à louvres, les feux avec bulles donnes à ce modèle un charme authentique et unique. En 2023, Hubert Haberbusch est devenu le premier maître tôlier-formeur à être fait Chevalier des Arts et des Lettres, une reconnaissance de son exceptionnelle contribution à la préservation du patrimoine automobile. Cette réalisation témoigne de son souci du détail méticuleux et de son savoir-faire inégalé, transformant chaque véhicule en une véritable œuvre d’art.

 

Sous le capot, un moteur six cylindres XK de 4,2 litres entièrement restauré, alimenté par trois carburateurs SU, offre puissance et fiabilité. La transmission est une boîte manuelle à quatre rapports synchronisés. La suspension indépendante avec amortisseurs réglables et les freins à disque avec étriers à quatre pistons garantissent une tenue de route et un excellent freinage.

 

L’habitacle fonctionnel comprend deux sièges baquets garnis de cuir noir par la Sellerie André. Le tableau de bord, les panneaux de porte et le tunnel central sont revêtus de matériaux assortis, tandis que des harnais à quatre points assurent la sécurité. Un volant bois trois branches et des instruments Smiths complètent cet intérieur.

 

Ce modèle est équipé de véritables jantes de Lister-Jaguar d’époque avec knock-off central, qui sont de véritables œuvre d’art, d’un système d’échappement en inox, et d’un Tripmaster Halda Speedpilot.

 

Dotée d’une immatriculation française, cette œuvre d’art est prête à séduire les amoureux de Jaguar !

 

Dossier photos et vidéos disponible sur demande.

La carrosserie arbore les couleurs emblématiques de l’écurie écossaise « Briggs Cunningham », qui engageait ce modèle à l’époque. De teinte blanche avec des bandes racing bleues, elle se trouve dans un état époustouflant, reflétant la qualité exceptionnelle du travail réalisé. Fidèle à la réputation du carrossier, le résultat est irréprochable, avec des alignements parfaits du capot en aluminium et des portes. La bulle protégeant le poste de pilotage, également en aluminium, intègre un arceau de sécurité et une trappe à essence, tandis que le coffre, agrémenté de louvres, est une réalisation tout aussi remarquable. Les pneus, en parfait état, sont montés sur des jantes authentiques de Lister-Jaguar d’époque, équipées de knock-offs centraux.

 

L’intérieur, récemment restauré, se présente dans un superbe état général. La sellerie noire, les contre-portes, le tableau de bord et les moquettes ont été refaits avec soin et beaucoup de goût. Le pare-brise ainsi que les vitres latérales ont été fabriqués sur mesure en plexiglas.

 

Après la réfection mécanique, le moteur 6 cylindres de 4,2 litres fonctionne à la perfection, associé à une boîte manuelle Jaguar à 4 rapports synchronisés aussi refaite, offrant des passages fluides et sans accroc. Lors de notre essai routier, le comportement de la voiture s’est révélé remarquable, procurant une véritable immersion dans le passé, comme si l’on se retrouvait sur la ligne droite des Hunaudières. Les bas de caisse, montants de portes, plancher et fond de coffre sont impeccablement réalisés. Le freinage, équipé d’étriers à double pistons, est mordant et parfaitement équilibré.

 

En 1958, les nouvelles réglementations limitant la cylindrée à 3 litres ont rendu la Jaguar D-Type obsolète, malgré ses trois victoires consécutives aux 24 Heures du Mans (1955-1957). L’équipe usine avait déjà quitté la compétition fin 1956, mais des équipes privées, comme Ecurie Ecosse et Briggs Cunningham, ont continué à faire courir la D-Type. Quelques exemplaires ont été modifiés avec des moteurs 3 litres, mais ces adaptations ne suffisaient pas à masquer l’âge de la voiture.

 

Pour remplacer la série XK et moderniser le concept, Jaguar a travaillé sur un nouveau modèle dérivé de la D-Type. En 1957, le premier prototype « E-Type », surnommé E1A, a vu le jour avec une suspension arrière indépendante et un châssis monocoque en aluminium. L’E1A a été intensivement testé, mais restait caché du public.

 

En 1960, Jaguar a développé un second prototype, l’E2A, en acier plutôt qu’en aluminium pour des raisons économiques. Conçue comme une voiture de course, elle combinait des éléments de la D-Type et des innovations prévus pour la future E-Type, comme la suspension arrière indépendante. Équipée d’un moteur 3 litres en aluminium avec injection Lucas, elle développait près de 300 ch. La carrosserie, également en aluminium, annonçait les lignes de la future E-Type tout en évoquant celles de la D-Type.

 

  • Cover-tonneau
  • Dossier photos de restauration

Caractéristiques

Année : 1969
Kilométrage : 24800km
Carte grise : Collection
Nombre de places : 2
Nombre de cylindres : 6

Pneumatique : TBE
Carburant : SP98
CV Din : 265
CV fiscaux : 26
Boîte : Mécanique à 4 rapports

Modèle

La Jaguar E2A, prototype unique de 1960, marqua l’évolution entre les Jaguar Type D, trois fois victorieuses au Mans, et les célèbres Type E. Conçue par Malcolm Sayer, elle servit de laboratoire pour tester la suspension arrière indépendante avant d’être confiée à Briggs Cunningham pour courir aux 24 Heures du Mans et en compétition SCCA aux États-Unis. Pilotée par des légendes comme Dan Gurney et Bruce McLaren, l’E2A originale reste un symbole d’innovation et de performance.

 

Cette inspiration de l’E2A a été réalisée entre 2018 et 2020 par HH Services à Strasbourg, sous la direction d’Hubert Haberbusch, maître artisan de renommée mondiale dans l’art de la restauration de carrosseries automobiles. Fort de plus de 40 ans d’expérience, M. Haberbusch est célébre pour son expertise exceptionnelle dans la rénovation de véhicules emblématiques et prestigieux, ayant travaillé sur des marques légendaires telles que Bugatti, Ferrari, Rolls-Royce et Jaguar, ainsi que sur des voitures iconiques du musée Schlumpf à Mulhouse.

 

Cette auto arbore une carrosserie en aluminium réalisée sur mesure, fidèle au design original, bien qu’étant en conduite à gauche, avec une livrée blanche et bleue au couleur de l’écurie Cunningham. Des détails tels que le capot à louvres, les feux avec bulles donnes à ce modèle un charme authentique et unique. En 2023, Hubert Haberbusch est devenu le premier maître tôlier-formeur à être fait Chevalier des Arts et des Lettres, une reconnaissance de son exceptionnelle contribution à la préservation du patrimoine automobile. Cette réalisation témoigne de son souci du détail méticuleux et de son savoir-faire inégalé, transformant chaque véhicule en une véritable œuvre d’art.

 

Sous le capot, un moteur six cylindres XK de 4,2 litres entièrement restauré, alimenté par trois carburateurs SU, offre puissance et fiabilité. La transmission est une boîte manuelle à quatre rapports synchronisés. La suspension indépendante avec amortisseurs réglables et les freins à disque avec étriers à quatre pistons garantissent une tenue de route et un excellent freinage.

 

L’habitacle fonctionnel comprend deux sièges baquets garnis de cuir noir par la Sellerie André. Le tableau de bord, les panneaux de porte et le tunnel central sont revêtus de matériaux assortis, tandis que des harnais à quatre points assurent la sécurité. Un volant bois trois branches et des instruments Smiths complètent cet intérieur.

 

Ce modèle est équipé de véritables jantes de Lister-Jaguar d’époque avec knock-off central, qui sont de véritables œuvre d’art, d’un système d’échappement en inox, et d’un Tripmaster Halda Speedpilot.

 

Dotée d’une immatriculation française, cette œuvre d’art est prête à séduire les amoureux de Jaguar !

 

Dossier photos et vidéos disponible sur demande.

état carrosserie

La carrosserie arbore les couleurs emblématiques de l’écurie écossaise « Briggs Cunningham », qui engageait ce modèle à l’époque. De teinte blanche avec des bandes racing bleues, elle se trouve dans un état époustouflant, reflétant la qualité exceptionnelle du travail réalisé. Fidèle à la réputation du carrossier, le résultat est irréprochable, avec des alignements parfaits du capot en aluminium et des portes. La bulle protégeant le poste de pilotage, également en aluminium, intègre un arceau de sécurité et une trappe à essence, tandis que le coffre, agrémenté de louvres, est une réalisation tout aussi remarquable. Les pneus, en parfait état, sont montés sur des jantes authentiques de Lister-Jaguar d’époque, équipées de knock-offs centraux.

 

état intérieur

L’intérieur, récemment restauré, se présente dans un superbe état général. La sellerie noire, les contre-portes, le tableau de bord et les moquettes ont été refaits avec soin et beaucoup de goût. Le pare-brise ainsi que les vitres latérales ont été fabriqués sur mesure en plexiglas.

 

état mécanique

Après la réfection mécanique, le moteur 6 cylindres de 4,2 litres fonctionne à la perfection, associé à une boîte manuelle Jaguar à 4 rapports synchronisés aussi refaite, offrant des passages fluides et sans accroc. Lors de notre essai routier, le comportement de la voiture s’est révélé remarquable, procurant une véritable immersion dans le passé, comme si l’on se retrouvait sur la ligne droite des Hunaudières. Les bas de caisse, montants de portes, plancher et fond de coffre sont impeccablement réalisés. Le freinage, équipé d’étriers à double pistons, est mordant et parfaitement équilibré.

 

En 1958, les nouvelles réglementations limitant la cylindrée à 3 litres ont rendu la Jaguar D-Type obsolète, malgré ses trois victoires consécutives aux 24 Heures du Mans (1955-1957). L’équipe usine avait déjà quitté la compétition fin 1956, mais des équipes privées, comme Ecurie Ecosse et Briggs Cunningham, ont continué à faire courir la D-Type. Quelques exemplaires ont été modifiés avec des moteurs 3 litres, mais ces adaptations ne suffisaient pas à masquer l’âge de la voiture.

 

Pour remplacer la série XK et moderniser le concept, Jaguar a travaillé sur un nouveau modèle dérivé de la D-Type. En 1957, le premier prototype « E-Type », surnommé E1A, a vu le jour avec une suspension arrière indépendante et un châssis monocoque en aluminium. L’E1A a été intensivement testé, mais restait caché du public.

 

En 1960, Jaguar a développé un second prototype, l’E2A, en acier plutôt qu’en aluminium pour des raisons économiques. Conçue comme une voiture de course, elle combinait des éléments de la D-Type et des innovations prévus pour la future E-Type, comme la suspension arrière indépendante. Équipée d’un moteur 3 litres en aluminium avec injection Lucas, elle développait près de 300 ch. La carrosserie, également en aluminium, annonçait les lignes de la future E-Type tout en évoquant celles de la D-Type.

 

  • Cover-tonneau
  • Dossier photos de restauration

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